•  

    ok, je craque je trouve que la suite publiée aujourd'hui est un peu plate aussi je publie une autre page de mon texte ! ^^ voici la suite :

    -Debout, le soleil est levé. Il y a une cascade pas loin de là. Tu peux t’y baigner, ces bestioles t’y surveilleront.

    Et en fait de bestiole se tenait face à moi des vautours à tête de femme et à patte de lion.

    -C’est quoi ce délire?

    -Ecoute moi bien ma belle, ton petit félin est mignon mais incapable de te protéger. Alors s’il te plaît, laisse les Harpies faire leur boulot.

    Le ton de Lysie suffit à me faire comprendre qu’il était inutile que je tente de protester. Comme d’habitude ! Bon sang, je n’avais plus l’impression d’être princesse mais la servante ! Contrainte, je me tournai dans la direction que m’indiquait ma tortionnaire !

    Le sol se déroba sous mes pieds, je me retrouvai sur une étendue liquide, de sang :

    -Lysie, c’est quoi ce truc ! Fais moi revenir sur la terre ferme !

    Et j’atterris durement sur le sol, tandis que Lysie s’effondrait sur le sol, la tête entre les mains :

    Avarice d’amour !

    Je me retournai, ce n’était pas la première fois que j’entendais cette fois, la première fois, lors de la rencontre avec le prince. Mais encore une fois, personne pour me parler. Je décidai de laisser couler. Et me dirigeai vers la source. Comme je m’y attendais, les monstres ne me lâchèrent pas des yeux, ce qui m’énerva passablement et rendit mon humeur irritable. Je fus reconnaissante à Lysie de ne pas tenir compte de mon état. Nous chevauchâmes en silence, jusqu’à ce que mon estomac crie famine. Lysie rie doucement et me lança un fruit. Je la regardais et jetait le fruit au sol.

    -Plutôt crevé que de accepter ce fruit venant de toi.

    -Yila, tu vas pas recommencer !

    -Je vais me géner, prends ce fruit si tu veux mais il est hors de question que je mange cela. J’espère que c’est clair.

    -Ne recommence pas à jouer à la riche trop…

    Elle ne put finir car son cheval s’emballa et la projeta contre un arbre.

    Avarice de sincérité

    .

    C’en était trop, je descendit de cheval et aidait Lysie à se relever. Hors de question que cette voix continue à me faire souffrir de la sorte ! Dès ce soir, j’en parlais à Lysie. En attendant, nous continuions notre voyage en direction de l’Empire. Mais je commençais vraiment à douter de la confiance que j’avais placé en Lysie. Malheureusement, je n’avais pas d’autre choix. Alors que je continuer à réfléchir à ma situation, une lance se planta juste devant nous, en m’entailant le bras au passage. Lysie se tourna vers moi :

    «-Yila, on fout le camps !

    Mais elle n’avait pas eu besoin de le dire, ayant déjà lancé mon cheval au galop. Je me souvenais de cette région maintenant. Celle des anthropophages. La chevauchée se poursuit sous une pluie de lance. Nous arrivions à la lisière de la for^t et je fis voleter mon cheval avec la maîtrise du champion d’équitation qu’avait était mon instructeur (avant de mourir d’une chute de cheval). J’exécutai un demi tour et passai en trombe devant Lysie en lui hurlant que l’on devait rebrousser chemin. Elle ne posa pas de question et se contenta de me suivre. A tort. Nos poursuivant s’étaient arrangés pour nous encercler. Je sentis que l’on me mettait à bas de ma monture avant de sentir un coup sur la tête et de m’effondrer

     


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  • -Euh… Lysie on est où?

    -Contente toi de me suivre pour le moment.

    -Hors de question, j’exige de savoir où tu m’emmènes quand même !

    -Tu exiges? Bien ton fiancé aussi exige, veut tu vraiment que j’accède à ton exigence puis à celle de ce prince violent et vaniteux?

    Et allez, elle a encore gagnée ! J’en ai marre, apparemment seul mon argent fait que l’on me respecte ! Et ce cher argent, et bien, c’est mon père qui le possède pas moi…Alors que l’on descendait de cheval Lysie me lança, tranquillement :

    -Je suppose que cette endroit doit te dire quelque chose?

    -Et bien, en fait oui, mais je ne sais plus où je l’ai vu !

    -C’est normal, sa va te revenir petit à petit, en attendant, on doit voir une amie à moi.

    -C’est pas le lieu que l’on nomme l’antre pécheresse?

    -Euh, où as-tu entendu ce nom?

    -J’en sais rien, bon on va la voir ta copine? D’ailleurs pourquoi on va la voir?

    -Attends deux secondes et tu vas le savoir !

    Alors que je m’apprêtais à reposer une question ( et oui je suis du genre curieuse), la porte de la cabane en rondins de bois s’ouvrit à la volée et une crinière rousse lisse comme je n’en ai jamais vu se précipita sur Lysie en hurlant : « je le savais que tu réussirais, je le savais, je le lui ai dit ! » Vu la force avec laquelle la jeune femme se jeta sur elle, je n’aurais pas été surprise de voir Lysie s’effondrer sur le sol, mais non, rien de ce genre ! Elle réussit à tenir sur ses deux pieds sans même reculer !

    -Calme toi un peu Talia tu veux !

    La prénommée Talia se dirigea vers moi et eut une moue, sceptique? Je n’en savais rien !

    -Tu es sûr que c’est elle, elle ne lui ressemble pas vraiment…

    -Il nous avait bien dit qu’elle ne lui ressemblerait pas forcément, comme quoi qu’il a toujours raison !

    Une voix glaciale retentit, une voix qui a mon humble avis n’avait rien d’humaine.

    -Te voici déjà, Lysie? Tu m’explique pourquoi elle est habillée comme une paysanne.

    -Comme tu peux le voir. Un prétendant un peu trop effronté, qui la poursuit comme un chien poursuit un lièvre.

    -Tu aurais dû tirer dessus…

    Le regard que Lysie lui envoya aurait suffi à me faire rentrer sous terre mais lui se contenta de rire. Enfin lui, pour être franche, je ne sais même pas si c’est un homme ou une femme.

    -Alors comme ça, se serait elle l’avarice?

    -Et oh, c’est toi qui les a connu toutes les sept, pas moi !

    -Certes mais il faudra malgré tous que tu ailles dans l’Empire, seule leurs parents pourront les reconnaitre.

    -J’ai compris, on prend nos chevaux et on fous le camps…

    -C’est tout à fait cela, bonne journée ma chère, madame, dit il en s’inclinant bas devant moi.

    Lysie soupira et remonta sur son cheval.

    -Ma belle, go.

    Je soupirai moi aussi mais n’en dis pas plus.

    Après trois quart d’heure de galop, Lysie sauta à bas de son cheval et me regarda en faire de même, mais en m’étalant dans… oh non, du crottin de cheval ! Un sourire indulgent éclaira, ses lèvre, enfin c’Est-ce que je pensais voir. Ma compagne me tendit la main.

    -J’ai mis plusieurs mois avant de restaurer mon équilibre.

    -Qui Est-ce que l’on a vu?

    -Il ne vaut mieux pas que tu le saches, crois moi…

    -De qui parlais t il quand il, ou elle, a parlé de leurs parents?

    -Il… Tu le sauras en tant voulu. En attendant, nous allons camper ici.

    -Et comment allons nous nous nourrir?

    -Il y a du gibier…

    -attends deux secondes ! Tu sais chasser en pleine nature, sans surveillance?

    -J’ai passé mon enfance dans ce marais. Donc, je sais me débrouiller. Pour te dire la vérité, la personne que l’on a rencontré tout à l’heure est mon père.

    -C’est donc un homme !

    Le rire de Lysie me fit sursauter.

    -C’est vrai que l’on ne le devine pas tout de suite.

    Et elle partit chasser. Elle revint quelques heures plus tard avec deux sangliers, qu’elle trainait mort derrière elle. La nuit étant tombé, je ne la vit pas correctement mais alors qu’elle allumait le feu ( ne me demandait pas comment elle s’y est prise mais le feu s’alluma en deux secondes et encore mieux, il avait une couleur bleue azur, incompréhensible). Et c’est là que je vis ces blessures. Son arcade sourcilière gauche saignait abondamment et sa jambe était ouverte de la cheville au genou.

    -laisse moi les boyaux sur le coté s’il te plaît et éloigne toi du feu.

    Surprise… Lysie m’écouta. Après les avoir dépecé, elle me tendit les boyaux et me regarda trancher les boyaux avec le petit couteau en or que mon père m’avait offert, il y a de cela des années. Je pense que je la surprit encore plus quand elle me vit tirer une épingle de mon corsage. Devant son air interrogatif je lui répondait :

    -Etant donné que ma taille est trop fine, j’ai été obligé de la maintenir avec une des épingle qui se trouvait dans le coin.

    -Et tu as réussi à le faire tenir comment?

    -J’ai enroulée le tissus, comme ceci, commençait je en le lui montrant, et j’ai passé trois fois l’épingle dans les deux tissus, comme cela.

    -mais euh, tu comptes faire quoi?

    - suturé cette plaie. Et arrête de bouger, je sais m’y prendre.

    -Cette quoi cette plante.

    -Arrête de poser des questions, ou je laisse ta jambe pourrir et s’infecter !

    Et elle ne dis plus rien. Elle me regardait faire, ébahis. Et oui personne ne sait qu’un médecin m’avait enseigné l’art de la guérison.

    -Et voila, jambe presque comme neuve !

    -Merci, Yila…

    -Ne me remercie pas trop vite, on va attendre d’atteindre une ville pour faire vérifier ça. En attendant, autant dormir, car je suppose que l’on va avoir du chemin demain.

    -Oui sans doute.

    Et nous nous endormîmes. Mais alors que la lune atteignait son apogée, j’entendis un drôle de petit gémissement. Comme un chat qui se casse la pate, vous savez? Cela venait d’un petit buisson qui se trouvait sur ma droite. Je tournai la tête, un petit œil ambre me regardait dans le creux que formait le feuillage. Je décidai de me lever, et me dirigeait vers le petit feuillage.

    -Oh mon dieu !

    Je prenais la petite boule de poil dans mes bras, une adorable panthère, encore bébé, se pelotonna dans mes bras.

    -Lysie, lèves toi !

    -Que se passe t il? Marmonna-t-elle.

    -On a un visiteur. Comment se fait il qu’une panthère se trouve ici, dans cette forêt?

    -Nous ne sommes pas loin de la lisière de la forêt et par conséquent du désert. Il se peu qu’elle est été rejeté par la famille.

    -Pourquoi rejeté?

    -tu vois cette marque dans son pelage, c’est un coup griffe et adulte qui plus est, les petits encombrants ou menaçant sont éjectés de la meute à partir de coups de griffe, le plus souvent sur le flanc. Je pense pouvoir la soigner mais on la laisse là ensuite.

    -Elle est trop jeune pour se nourrir et réfléchis, toi qui voulait nous payer des mercenaires, une panthère même bébé serait plus efficace, non? Et puis regarde elle est si mignonne. Lysie pourquoi tu rigoles?

    -Je n’aurai jamais cru que tu sois capable de sentiments. OK, c’est bon, gardons cette boule de poil. Maintenant, si ça ne te fais rien, j’aimerais allez me coucher.

    Et nous regagnâmes nos lits, moi accompagnée du petit félin.


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  • -Tu sais faire un lit? C’est impossible !

    -Je sais même broder, c’est l’une des rares chose pour laquelle je suis douée, avec la couture bien sûr. L’un va avec l’autre.

    Son visage exprimait clairement ses pensées : « Si elle, elle est capable de se servir de ses mains pour faire autre chose que compter son argent alors on n’est pas sorti de la merde. »

    Bien sûr, je prit soin de me taire mais l’idée d’être haïe par tous n’est pas très réconfortante ! Imaginez vous prendre un bain avec des anguilles électriques et vous aurez une bonne idée de l’effet que cela peut faire. En attendant d’être seule pour méditer sur le meilleur moyen d’améliorer nos relations, je prenais la direction de la rivière avec Lysie, et en silence. Nous ne portions toutes les deux que de simple peignoir de laine qui grattait autant que si je m’étais immiscer dans un champs d’ortie. Rien à voir avec la soie que je portais habituellement mais, comme cette chère Lysie me l’avait dit, soit j’acceptais ceci soit elle me laissait sans rien sur le dos. J’avais choisi la première option. De nombreuse femmes mais aussi beaucoup d’homme était déjà au fleuve en train de se baigner. Une amie de Lysie se tourna vers moi et me lança, brusquement joyeuse, elle toujours si taciturne,

    -c’est le point de rendez vous des célibataire…

    -Inutile de parler de célibat, elle ne connait pas le sens du mot amour, sauf lorsqu’il s’agit de son argent.

    -Lysie, pourquoi tu es aussi désagréable brusquement?

    Elle haussa les épaules et rejoignit le fleuve en courant tout en se débarrassant de son peignoir une fois dans l’eau. Nous nous joignîmes à elle. A peine mon peignoir défait, un homme me bousculait, notre âge ( bon il est temps de le dire maintenant, on a toute 21 ans, c’est la raison pour laquelle mes parents était si presser de me marier, il craignait pour la descendance). Une tête de plus que nous, les yeux bleus azur dans une peau basanée et les cheveux blond cendré, il s’agissait de MON incarnation du beau gosse !

    -Emrik ! Fiche la paix à cette fille si tu veux encore être en vie dans quelque mois !

    Lysie? Bon sang, mais que lui avais-je fait? Mais j’avais d’autre problème pour le moment. Ce regard joyeux et taquins, qui envoûte toutes les femmes en quelque seconde, je l’avais déjà vu quelque part, mais où? Pas moyen de m’en souvenir ! Alors que je réfléchissais, des hennissements se firent entendre dans la plaine, quoique amoindrit par les roseaux. J’entendis un homme de 30ans confirmait mes crainte :

    -Le roi, la reine, toute la cour s’est déplacée par ici !

    -Non !

    Le cris de Lysie surprit tout le monde.

    -Mais que font-ils ici?

    -Ma pauvre Lysie, toujours en retard quand aux nouvelles… soupira le magnifique, pardon non divin Emrik. La princesse est disparue, on ignore tout, on pense même que « Saphiros » l’a enlevée, absurde non?

    Explication : « Saphiros » était un voleur dont je n’ai jamais vu le visage mais seulement ses yeux, d’un beau bleu et qui devait, à mon avis, prendre son pieds lorsqu’il me volait mes bijoux, c’est à dire à chaque nouvelle lune. Et comme un fait exprès, il ne prenait que ceux que j’adorais porter. Je me tournai vers Lysie, qui approuva ma question silencieuse en un hochement de tête, on prends les vêtements des pauvres paysannes que nous sommes censée être et que nous avions emportés, à la place de nos vêtements d’équitations, et nous prenons nos jambes à nos cou. Comme prévu, nous ne serions que deux à partir, pour ne pas attirer l’attention. Nous passâmes devant mes parents sans encombre, persuadés sûrement que j’avais conserver mes parures !, mais toutefois angoissés comme je ne l’aurai jamais cru. Mais ce qui me fit le plus mal fut les larmes de mon père, pourtant si rares. Je l’avais vu exécuter son propre frère de ses mains sans verser une larme. Mais pas le moment de flancher, je devais partir tout de suite ou je serais mariée dans l’heure. Mon ancienne servante et moi atteignîmes nos chevaux sans la moindre encombres jusqu’à ce qu’une voix hurle de nous rattraper, tout en injuriant les gardes d’être ( pas de censure, je vous en supplie, je ne vais que transmettre fidèlement ! ) des enfoirés de con incapable de reconnaître leurs cul même si ils l’ont sous les yeux. Pas de doute, mon fiancé voulait me récupérer. Enfin, je pensais plutôt qu’il voulait récupérer mon argent et son honneur. Que voulez vous, on ne peut pas changer un homme !

    -Dépêche toi, on est reconnue !

    -Je l’avais pas remarquer.

    Et je ne dis pas un mot de plus. Et oui, à force de ne monter qu’au pas, j’ai perdu l’habitude de galoper, aussi j’essayai de faire trois choses en même temps, ne pas avaler trop d’air, de faire gaffes à mes fesses déjà endoloris et aussi éviter les branche lourde de fruits qui surgissait à tout moment. Avant même que j’ai le temps de réagir, mon cheval avait tourné pour suivre Lysie. C’est seulement à ce moment que je compris que je m’en était trop vite remis aux mains de Lysie. Cette région me rappelais vaguement quelque chose, mais impossible de m’en souvenir. Pourquoi ma mémoire me fait elle t’en défaut en ce moment? J’avais toujours fait la fierté de mes parents avec ma mémoire d’éléphant… je devais être malade.


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  • Le bon, la brute et le mort vivant

    deuxième tome de Rachel morgan par Kim Harrison.

    Rachel morgan est une femme indépendante, sexy... et sorcière ! elle gagne sa vie comme chasseuse de primes dans la dans la banlieue glauque de cincinnati. Les vamps et les garous ne lui font pas peur, et elle peut même s'en tirer contre un ou deux démons. Mais sa mission se complique quand un tueur en série se met à semer les cadavres sur son passage. Et pas n'importe quelle victimes : des spécialistes d'une redoutabe magie noire !

    Cette fois, Rachel aura de la chance si elle s'en tire sans y laisser sa peau... ou son âme.

    voici la première page ( toujours avec l'accord de l'auteur).

    Je tirai sur la bandoulière en tissu pour remonter le bidon d'eau sur mon épaule et me dressai sur la pointe des pieds pour amener la buse à la hauteur de la plante suspendue. Le soleil entrait à flots. Je sentais sa chaleur à travers mon bleu de travail réglementaire. D'étroit panneaux vitrés donnaient sur une petite cour qu'entouraient les bureaux des huiles. Clignant des yeux à cause du soleil, je pressai la poignée de la lance d'arrosage, et un infime jet d'eau s'en échappa en sifflant.

    Il y eut un cliquetis frénétique de touches d'ordinateur, et je passai à la plante suivante. Une conversation téléphonique étouffée me parvenait du bureau qui se trouvait au delà du comptoir de l'accueil, accompagnée d'un rire gras qui sonnait comme l'aboiement d'un chien. Les garous ! Plus ils étaient haut placés dans la meute, plus ils réussissaient à paraître humains; mais ils étaient toujours repérable à leur rire.

    Je laissai mon regard glisser le long de la rangée de plantes suspendues devant les panneaux vitrés, jusqu'à l'aquarium sur pieds qui tronait derrière le comptoir de la réceptionniste. Ouaip ! des nageoires couleur crème. Un point noir sur le flanc droit. C'était le bon. M.Ray élevait des koï et les faisait concourir au salon du poisson d'aquarium qui se tenai chaque année à Cincinnati. Le vainqueur de l'année précédente était toujours exposé dans son hall d'entrée mais, aujourd'hui, il y avait deux poissons derrière la vitre. Et, d'après mes sources, la mascotte des Hurleurs était portée disparue. M.rai était à la tête des Rôdeurs, l'un des rivaux de l'équipe de Base Ball cent pour cent outre de Cincinnati. Il ne fallait pas beaucoup de matière grise pour additionner deux et deux et trouver où était le poisson volé.

    Vous trouverez la suite et la réplique que je préfère : Je vous l'ai déjà dit, les ordinateurs sont comme les femmes, si vous leur criez dessus ou leur dempander de faire trop de choses à la fois, ils se bloquent et vous ne pouvez plus rien en tirer ! ^^  dans le livre de Kim Harrison, au titre indiqué ci dessus, au édition Bragelonne et Milady.


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  • salut, les épruves touche à leurs fins et mon imagination repart. Je fais actuellement quelque rechers pour avarice et je me suis lancai dans un nouveau texte, né, accrochez vous d'un rêves ! comme d'habitude jespere qu'il vous plaira, dès que je retrouve comment on le publie ! ^^ alors à bientôt sur Alaia la vertueuse ! bisous à tous !


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