• Bien, face au manque de réactions à mes demandes sucessives, je me vois contrainte de cesser toute parution de nouveau article. Pour celle qui me suivent depuis le début et qui souhaitent connaître la suite avarice ou alaia, et bien je suis vraiment désolée. Je recommencerais à publier une fois le stade du 1000e visiteur dépassé. Encore désolée mais je n'ai pas le choix. Quand à Texte communautaire, et bien, tant qu'une trentaine d'idée ne me seront pas communiqué il n'avancera pas. Je le répéte : j' en suis désolée. Bonne soirée à tous. Mes partenaires, je ne disparaît pas, et continuerais à surveiller votre évolution ! Je précise une dernière chose, la non parution ne signifie pas désintérêt, je continuerais à venir contrôler tous les soirs, je dis tous les soirs


    4 commentaires
  • Je me réveillai sur une espèce de sol moelleux. De couleur pourpre. Je me sentais cotonneuse et irréelle. Comme dans un rêve. Face à moi, six jeunes filles marmonnaient entre elles mais ne faisaient pas attention à moi. Jusqu’à ce qu’elle forme un cercle et que l’une ‘entre elle me tende la main et me sourit en me faisant signe de les rejoindre. Sans même l’avoir décidé ou sans avoir esquissé le moindre mouvement, je me retrouvais debout, en train de donner la main à deux jeunes filles tout en psalmodiant une langue que je ne connaissais pas. Une succession d’image apparut devant moi. Un massacre de grande envergure et sept jeunes filles qui combattaient parmi les hommes tout en déchaînant une étrange magie. Comme tout le monde je haissais la magie mais je ne put répondre à mon impulsion, à savoir faire un signe de sigma ( s ) pour la conjurer. Au lieu de çà, je vis une flèche se planter dans le flanc de l’une des sept et remarquai la même blessure s’étendre sur le flanc de toute celle qui m’entouraient. Je parvins cette fois à lâchai leurs mains mais les images ne cessèrent pas de défouler. Et pour cause, je pus assister à la mise à sac et à la torture de la population, femme et enfant compris. Je reculais, terrorisée, et tombai dans un gouffre sans fonds.

    Cette fois, je me réveillais bel et bien en poussant un hurlement de terreur. Lysie soupira, à côté de moi.

    -J’ai bien cru que tu ne te réveillerais jamais. Tu as perdu beaucoup de sang après le coup que tu as reçu sur la tête.

    Cette fois, je me sentis plutôt courbaturé partout.


    1 commentaire
  • Et voici, j'ai succomber à la pression ! non je plaisante, j'attends tout vos avis ou vos idées générales où vous pouvez exprimer vos envies de concours, ce que vous aimez ou non... bref, je raccourcis TOUT ! et je vous invite à répondre au sondage !


    1 commentaire
  • Un jet de flammes fit brûler la rangée d'arbre qui se trouvait à notre droite. Les cavaliers lancèrent leur chevaux à vive allure pour tenter d'échapper à l'ennemi volant. Nous fûmes obligés de nous séparer du reste du groupe. Je m'accrochai à Melvi comme si ma vie en dépendait. Et nous nous retrouvâmes face à un naseau brûlant. Une chose me vint à l'esprit, pourquoi les dragons chassaient ils en groupe ? Cela ne leur ressemblait guère. Le cavalier principal nous rejoignit et lança un fouet en direction de ce même naseau. Alors que la gueule de cette créature s'ouvrait, mon regard plongea dans celui du dragon asiatique, comme mû par un instinct étrange. Et brusquement, le dragon ouvrit ses ailes et se propulsa dans les airs en poussant un gémissement d'effroi. Le souffle d'air nous projeta au sol, nous et nos montures, mais peu nous importait, nous étions en vie, qu'y avait il de plsu important? Mais le cavalier principal ne semblait pas du même avis. Il me regardais, conne furieux et apeurée. certes, le dragon avait fui mais ce n'était tout de même pas à cause de moi, si? Nous nous étions tous relevé, et nos monture aussi, mais des lances pointaient dans notre direction. Je regardais à l'autre bout.

    -Que voulez vous étrangers?

    -Nous sommes de passge et nus venons en paix. Nous avons été attaquée par des dragons.

    -Tais toi, l'homme, nus nous adressons à la jeune femme que tu accompagnes.

    -Euh, en fait, c'est l'inverse, c'est moi qui les accompagne. Ils m'ont receuillie et...

    -Vous n'êtes donc pas du coin.

    Nous hochâmes tous la tête de façon positives. Les lances s'abaissèrent tandis que nous entendions un glissement sur le sol. En regardant bien, je vis des femmes dont les pieds étaient des queues de serpent. Mais les écailles étaient en or et elles n'avaient toutes que un sein sur deux. Melvin s'approcha de moi et me murmura à l'oreille :

    -Ce sont des amzones serpentines. Seule la parole des femmes ont de la valeur pour elle. On compte sur toi, acheva t il avec un sourire embarassé.

    Je regardais autour de moi. Tous les cavalier n'étant pas mort brulé vif ou dévorés semblaient exténuées, les chevaux aussi. Ma décision fut vite prise.

    -Je crois que nous avons tous étaient très éprouvés par la visite inoportunes de vos voisins reptiliens. Enfin, sans mauvais jeu de mots, précisai je (oups, je viens de faire une faute diplomatiques). Nous serait il possible de nous abriter chez vous, le temps que nous restaurions? Je laisserai ensuite la place à l'homme qui a prit la parole tout à l'heure, qui a l'oreille denotre souverain. peut être a t il quelque chose à vous dire?

    Je me souvenais avoir entendu mon père dire que leur souverain souhaitait lié un traité de non agression.

    -Bien, concéda la dirigeante. Suivez nous, nous n'habitons pas très loin. Nous allons vous allouer des chambres et vous pourrez vous restaurer comme vous le souhaitait.

    Elle se retourna et glissa en direction du nord. Nous n'avions plus qu'à la suivre, escorté par des gardes serpentines. Mais apparemment, ce n'était pas l'attaque des dragons qui les avaient attirées. Mais cela, nous ne le sûmes que plus tard...


    7 commentaires
  •  

    ok, je craque je trouve que la suite publiée aujourd'hui est un peu plate aussi je publie une autre page de mon texte ! ^^ voici la suite :

    -Debout, le soleil est levé. Il y a une cascade pas loin de là. Tu peux t’y baigner, ces bestioles t’y surveilleront.

    Et en fait de bestiole se tenait face à moi des vautours à tête de femme et à patte de lion.

    -C’est quoi ce délire?

    -Ecoute moi bien ma belle, ton petit félin est mignon mais incapable de te protéger. Alors s’il te plaît, laisse les Harpies faire leur boulot.

    Le ton de Lysie suffit à me faire comprendre qu’il était inutile que je tente de protester. Comme d’habitude ! Bon sang, je n’avais plus l’impression d’être princesse mais la servante ! Contrainte, je me tournai dans la direction que m’indiquait ma tortionnaire !

    Le sol se déroba sous mes pieds, je me retrouvai sur une étendue liquide, de sang :

    -Lysie, c’est quoi ce truc ! Fais moi revenir sur la terre ferme !

    Et j’atterris durement sur le sol, tandis que Lysie s’effondrait sur le sol, la tête entre les mains :

    Avarice d’amour !

    Je me retournai, ce n’était pas la première fois que j’entendais cette fois, la première fois, lors de la rencontre avec le prince. Mais encore une fois, personne pour me parler. Je décidai de laisser couler. Et me dirigeai vers la source. Comme je m’y attendais, les monstres ne me lâchèrent pas des yeux, ce qui m’énerva passablement et rendit mon humeur irritable. Je fus reconnaissante à Lysie de ne pas tenir compte de mon état. Nous chevauchâmes en silence, jusqu’à ce que mon estomac crie famine. Lysie rie doucement et me lança un fruit. Je la regardais et jetait le fruit au sol.

    -Plutôt crevé que de accepter ce fruit venant de toi.

    -Yila, tu vas pas recommencer !

    -Je vais me géner, prends ce fruit si tu veux mais il est hors de question que je mange cela. J’espère que c’est clair.

    -Ne recommence pas à jouer à la riche trop…

    Elle ne put finir car son cheval s’emballa et la projeta contre un arbre.

    Avarice de sincérité

    .

    C’en était trop, je descendit de cheval et aidait Lysie à se relever. Hors de question que cette voix continue à me faire souffrir de la sorte ! Dès ce soir, j’en parlais à Lysie. En attendant, nous continuions notre voyage en direction de l’Empire. Mais je commençais vraiment à douter de la confiance que j’avais placé en Lysie. Malheureusement, je n’avais pas d’autre choix. Alors que je continuer à réfléchir à ma situation, une lance se planta juste devant nous, en m’entailant le bras au passage. Lysie se tourna vers moi :

    «-Yila, on fout le camps !

    Mais elle n’avait pas eu besoin de le dire, ayant déjà lancé mon cheval au galop. Je me souvenais de cette région maintenant. Celle des anthropophages. La chevauchée se poursuit sous une pluie de lance. Nous arrivions à la lisière de la for^t et je fis voleter mon cheval avec la maîtrise du champion d’équitation qu’avait était mon instructeur (avant de mourir d’une chute de cheval). J’exécutai un demi tour et passai en trombe devant Lysie en lui hurlant que l’on devait rebrousser chemin. Elle ne posa pas de question et se contenta de me suivre. A tort. Nos poursuivant s’étaient arrangés pour nous encercler. Je sentis que l’on me mettait à bas de ma monture avant de sentir un coup sur la tête et de m’effondrer

     


    2 commentaires