• Un jet de flammes fit brûler la rangée d'arbre qui se trouvait à notre droite. Les cavaliers lancèrent leur chevaux à vive allure pour tenter d'échapper à l'ennemi volant. Nous fûmes obligés de nous séparer du reste du groupe. Je m'accrochai à Melvi comme si ma vie en dépendait. Et nous nous retrouvâmes face à un naseau brûlant. Une chose me vint à l'esprit, pourquoi les dragons chassaient ils en groupe ? Cela ne leur ressemblait guère. Le cavalier principal nous rejoignit et lança un fouet en direction de ce même naseau. Alors que la gueule de cette créature s'ouvrait, mon regard plongea dans celui du dragon asiatique, comme mû par un instinct étrange. Et brusquement, le dragon ouvrit ses ailes et se propulsa dans les airs en poussant un gémissement d'effroi. Le souffle d'air nous projeta au sol, nous et nos montures, mais peu nous importait, nous étions en vie, qu'y avait il de plsu important? Mais le cavalier principal ne semblait pas du même avis. Il me regardais, conne furieux et apeurée. certes, le dragon avait fui mais ce n'était tout de même pas à cause de moi, si? Nous nous étions tous relevé, et nos monture aussi, mais des lances pointaient dans notre direction. Je regardais à l'autre bout.

    -Que voulez vous étrangers?

    -Nous sommes de passge et nus venons en paix. Nous avons été attaquée par des dragons.

    -Tais toi, l'homme, nus nous adressons à la jeune femme que tu accompagnes.

    -Euh, en fait, c'est l'inverse, c'est moi qui les accompagne. Ils m'ont receuillie et...

    -Vous n'êtes donc pas du coin.

    Nous hochâmes tous la tête de façon positives. Les lances s'abaissèrent tandis que nous entendions un glissement sur le sol. En regardant bien, je vis des femmes dont les pieds étaient des queues de serpent. Mais les écailles étaient en or et elles n'avaient toutes que un sein sur deux. Melvin s'approcha de moi et me murmura à l'oreille :

    -Ce sont des amzones serpentines. Seule la parole des femmes ont de la valeur pour elle. On compte sur toi, acheva t il avec un sourire embarassé.

    Je regardais autour de moi. Tous les cavalier n'étant pas mort brulé vif ou dévorés semblaient exténuées, les chevaux aussi. Ma décision fut vite prise.

    -Je crois que nous avons tous étaient très éprouvés par la visite inoportunes de vos voisins reptiliens. Enfin, sans mauvais jeu de mots, précisai je (oups, je viens de faire une faute diplomatiques). Nous serait il possible de nous abriter chez vous, le temps que nous restaurions? Je laisserai ensuite la place à l'homme qui a prit la parole tout à l'heure, qui a l'oreille denotre souverain. peut être a t il quelque chose à vous dire?

    Je me souvenais avoir entendu mon père dire que leur souverain souhaitait lié un traité de non agression.

    -Bien, concéda la dirigeante. Suivez nous, nous n'habitons pas très loin. Nous allons vous allouer des chambres et vous pourrez vous restaurer comme vous le souhaitait.

    Elle se retourna et glissa en direction du nord. Nous n'avions plus qu'à la suivre, escorté par des gardes serpentines. Mais apparemment, ce n'était pas l'attaque des dragons qui les avaient attirées. Mais cela, nous ne le sûmes que plus tard...


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